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Published online by Cambridge University Press: 07 May 2025
La figure du « criminologue » a surgi à une époque dans laquelle il semblait que le positivisme offrait aux sciences le progrès définitif et, en même temps, il semblait que les sciences naturalistes expliquaient tous les doutes et résolvaient tous les problèmes humains.
(1) Pour les effets de cet article, j'emploie les mots « délit » et « crime » indifféremment, comme synonymes.
(2) W.-A. BONGER: « Introducción a la Criminologia ». Versión española, por Antonio PENA. Mexico, Fondo de Cultura Economica, 1943, p. 39.
(3) Diego de CASTRO: « Indici de criminalità e indice di criminosità ». La Scuola Positiva. Milano, Giuffre, 1955, p. 181 et s.
(4) Agostino GEMELLI: « La concezione dinamica della personalità nello studio dei delinquenti ». Rivista Italiana di Diritto Penale. Milano, Giuffre, Gennaio-Febbraio, 1955, p. 10.
(5) Pierre GRAPIN: « Dysmorphisme et Criminalité ». Revue de Science criminelle et de Droit pénal comparé. Paris, Sirey, janvier-mars 1954, p. 67 et s.
(6) Biaggio PETROCELLI: « Diritto Penale e Criminologia ». Rivista Italiana di Diritto Penale. Milano, Giuffre, settembre-ottobre 1957, p. 690-691.
(7) Agostino GEMELLI. Op. cit. (note 4), p. 9.
(8) Thorsten SELLIN: « Conflits culturels et Criminalité ». Traduit par Mme O. CORNIL. Revue de droit pénal et de criminologie. Bruxelles, ministère de la Justice, juin 1960, p. 816.
(9) Giuseppe BETTIOL: « Diritto Pénale ». Parte Generale, IV ed. riveduta e aggiornata. Palermo, Priulla, 1955, p. 189-190.
(10) Thorsten SELLIN. Op. cit. (note 8), p. 815.
(11) Cesare PEDRAZZI: « Le droit pénal des sociétés et le droit pénal général ». Copie miméographée, s/d., p. 11.
(12) Giuseppe BETTIOL. Op. cit. (note 9), p. 288.