Hostname: page-component-cb9f654ff-h4f6x Total loading time: 0 Render date: 2025-09-02T15:56:53.288Z Has data issue: false hasContentIssue false

Ecole et Délinquance Juvénile d’après quelques recherches Belges

Published online by Cambridge University Press:  07 May 2025

Extract

Le Centre d’étude de la délinquance juvénile a rencontré ce problème des rapports entre l’école et la délinquance au cours de plusieurs de ses recherches. Nous pouvons même dire qu’un tel problème se pose nécessairement dès que l’on effectue une étude quelque peu approfondie sur un des aspects, quel qu’il soit, de la délinquance juvénile. La période scolaire constitue une expérience fondamentale dans la vie de l’enfant et, pour comprendre ce qu’est son comportement en général, il paraît indispensable d’accorder à cette période une place importante.

Information

Type
Première Partie: Doctrine: II — La Prévention Du Crime: Le rôle de l'école, des cliniques d'orientation et des organisations de jeunesse
Copyright
Copyright © 1962 International Society for Criminology

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

Article purchase

Temporarily unavailable

References

(1) Ou du moins, aucun auteur, à notre connaissance, n’a étudié ce problème d’une manière systématique.

(2) Erwin Frey : Der frükriminelle Rückfallsverbrecher, Verlag für Recht und Gesellschaft A.G., Basel 1951, p. 202.

(3) S. et E. Glueck : Unraveling juvenile delinquency, Harvard Univ. Press, 1950, Ρ· 135 et s.

(4) S. et E. Glueck minimisent considérablement le rôle de l’école dans la structuration de la personnalité, en disant que celle-ci n’apporte qu’un certain bagage intellectuel. C’est là une vue qui nous paraît fort discutable.

(5) V. Ch. Debuyst, G. Lejour et A. Racine : Petits voleurs de grands magasins, Centre d’étude de la délinquance juvénile, Bruxelles, 1960, 133 p.

(6) Les deux questionnaires sur lesquels cette étude est basée ont été élaborés et dépouillés par Mme C. Somerhausen, sociologue; les enquêtes furent faites par Mme Lejour et M. Renard, assistants sociaux au Centre d’étude de la délinquance juvénile.

(7) Deux de ces enfants sont des doubleurs ayant respectivement 15 et 16 ans, qui poursuivent leurs études au-delà de la scolarité obligatoire (14 ans).

(8) Nous reprenons le terme de E. Frey, qui oppose « récidive habituelle » à « récidive occasionnelle ».

(9) En réalité, cette recherche s’est faite dans quatre grands magasins successivement, a raison d’une semaine pour chacun.

(10) 24 mères et non 28 : dans un cas, la mère est morte; dans plusieurs autres, nous avions un couple de frère et sœur.

(1) L’un d’eux obtient, en fin d’études 36 points sur 360. Quel acquis intellectuel pareille cote peut-elle bien représentes?

(1) Dans un des cas, l’enfant avait à plusieurs reprises été ramené chez lui par la police qui l’avait surpris à mendier sur la voie publique. Dans l’autre cas, l’enfant avait été battu par son père, mais il avait réussi, dans la suite, à s’organiser de façon à ne plus être attrapé.

(1) Expérience relatée dans : W.-H. Brower, I.-C. van Houte, P. Post, M.-C. Scheffer, Schoolkinderen uit Sociaal zwakke gezinnen. J.-B. Wolters — Groningen/Djakarta — 1955.